Après la plateforme de Hau Tongariki, on se lance sur une petite heure de marche au nord de la côte…
… pour rejoindre « le nombril de la terre », lieu où se rencontraient les chefs de village autour d’une pierre ronde aux propriétés électromagnétiques étonnantes (la boussole s’affolait dans toutes les directions suivant comment on la déplaçait sur la pierre).
En chemin (il parait dixit Virginie que Pierre et moi avons, je cite : « parlés comme des filles sur tout le trajet»), on arrive sur un petit lieu de pèche ou Virginie fait la rencontre de celui qu’on appelera désormais : le Fisherman.
Pour le coup, lui, il est « ancéstral » (à prononcer avec l’accent espagnol).
Ni une ni deux qu’il te chope la Virginie lui disant qu’elle est jolie comme le poisson bleue qu’on voyait dans l’eau au bord de la plage (Virginie traduira à la guide qui lui demandait ce qu’il lui avait dit qu’elle était « bonne comme le poisson » !),
qu’il lui demande ce qu’elle aime comme fruit pour lui répondre du tac au tac qu’il a tout chez lui et qu’elle devrait venir passer le voir, avant de lui dire qu’il a aussi beaucoup de majijuna. Puis une nouvelle photo en l’enserrant bien par la taille.
Pas farouche le bonhomme. Virginie non plus d’ailleurs. Hum. Enfin, retour aux réalités, Monsieur a du poisson à pécher. Du vrai cette fois.
Et puis en partant, on a vu un cochon ,) coincidence ?
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