5-8 dec : Bora-Bora, ile aux touristes ?

D’avis de tous, Bora-Bora, c’est l’antre du tourisme. Il est vrai qu’on passe du 9 bungalows caché dans la végétation aux 80 bungalows dont une vingtaine sur Pilotis du Pearl Beach.

Pour le fun, on prend quand même un Bungalow Premium sur pilotis, comprendre vue directe sur les pitons de Bora, le jardin de corail autour, pas de vis-à-vis.

Michèle, tu reconnais le maillot de bain ? C’est celui que tu m’as offert. Comme Théo qui est quand même mieux à Biarritz, lui est plus heureux à Bora qu’à la piscine municipale.

Côté lagon et vue, c’est sûr que Bora surpasse vite les autres îles. La mer est turquoise à perte de vue, on peut marcher 100m avec de l’eau en-dessous de l’épaule, les poissons nous tournent autour comme dans un aquarium. En plus, il faut reconnaître qu’on n’est pas envahi par les touristes, basse saison oblige,  mais on sent quand même qu’il y a de la lune de miel dans les parages.

Le bungalow est dans un jardin de corail, et il est aménagé avec goût. Des zones transparentes de la table aux rebords de la salle de bain nous permettent de voir l’eau et les poissons à tout moment, se fondant dans le décor, et bien sûr, il suffit de descendre de notre terrasse par un ponton circulaire pour être tout de suite dans le corail.

On pourrait vous dire (et certains nous diront qu’on aurait dû) qu’on a plongé avec des requins tous les jours, fait du parachute et autres activités du style, mais nous on voulait juste se RE-PO-SER.

Snorkling, lecture et siestes auront donc été nos seules activités, et on a adoré.

Le résultat du Waxing Emergency !

Au niveau du temps, le parcours aura été un « sans faute ». Pourtant il paraît que c’est la mauvaise saison dixit les experts des iles. A part la nuit, nous en 12 jours, on n’aura jamais vu la pluie.

Bilan : du soleil, pas de pluie, pas de neige non plus (en hommage aux métropolitains), des poissons, peu de touristes. Qui dit mieux ?

Et en Polynésie, il y a un autre bilan important à faire, celui des colliers : on s’en tire en tout avec 10 colliers et une de nos valises a passé le cap fatidique des 20 kilos. Une petite préférence sur le nombre pour le bijou marquisien qui attire systématiquement l’oeil des tahitiens.