Sans nécessairement l’opposer à notre prochain stop, Bora Bora, milieu du tourisme par excellence, Taha’a est réputé pour ses côtes restées sauvages et la faible affluence de touristes. Le gars qui nous récupère à la sortie de l’avion se dirige tout de suite vers nous. Facile, on est les seuls touristes à bord d’un avion de 80 places.
10m derrière la récupération des bagages, le bateau nous attend. La proximité entre les 2 moyens de transport est étonnante. D’habitude, on voit ça avec des aéroports pour des avions de 6 places. Plutôt amusant. Arrivés à l’hôtel , situé sur un motu (petit ilot sur la barrière de corail qui encercle Taha’a), on retrouve tout de suite l’hôtellerie qu’on aime.
8 bungalows cachés dans la végétation. Le patron de l’hôtel sympa qui vient vous accueillir.
On sait déjà qu’on va s’y sentir bien. Il est italien, elle est de Lausanne. Ils sont venus s’installer ici il y a 10 ans avec leurs 2 filles et ont construit l’hôtel de leurs mains.
Et puis le lieu a l’air plutôt accueillant. Même Fred se repose !
Pour ajouter à la chaleur du lieu, Bambou, et son père Sérano, 2 toutous qui joueront nos compagnons. D’ailleurs, le premier matin, c’est la patte de Bambou qu’on a vu sur la terrasse. La maison était bien gardée.
Et pour couronner le tout, bonne nouvelle. Comme on est en basse saison, l’hôtel est à nous. On est en effet les seuls clients (du jamais vu) et il va faire beau pendant les 3 jours. Objectifs : bouffe, glande, mer, soleil, kayac, jet ski, masque et tubas, mais pas forcément dans cet ordre là.
Et hop, Virginie sort enfin le maillot que maman lui avait offert !
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