Samedi dernier, petit tour dans une librairie pour trouver un guide sur le Bhoutan et la Chine avant de partir.
Juste au moment de payer, près du comptoir, Virginie voit des mappemondes gonflables. Et oui, celles qu’on à tous vus partout et que personne n’a jamais acheté. Enfin, jusqu’à la semaine dernière du moins, car nous en avons pris pas moins de 3 au final ! Les heureux gagnants sont donc Jenn, les parents de Virginie et les collègues de Virginie. Pour les autres, faudra se contenter du blog.

Je reviens donc à cette idée magique de prendre des mappemondes gonflables. On est à J-5 avant le départ et plutôt pas prêt du tout pour partir jeudi prochain, mais on décide quand même de “customiser” nos mappemondes avant de les offrir. Après avoir trouvé le stabilo, la seule règle qu’ont rouve dans l’appart pour tirer les traits fait 110cm. Pratique…).

Je vois tout de suite qu’on va y passer l’après-midi donc mon côté organisé prend le dessus et on installe donc la production “à la chaine” de nos 3 mappemondes sur le bar (pour ceux qui ont vu le reportage c’est celui des 20 peintres chinois qui arrivent en 10 minutes a reproduire un tableau de Monnet) et on se met à tracer le parcours trait par trait en passant d’une mappemonde à l’autre pour laisser l’encre sécher.

Pour la petite histoire, on y a passé plus de 2 heures au final (j’adore le moment ou on se rend compte qu’en gros une destination sur 2 n’est pas sur la carte.

C’est tellement pratique et plus rapide d’avoir en plus des traits à faire sur un truc pas plat d’avoir aussi à écrire des noms sur du plastique au feutre indélébile.

Près de 57 000 Km tracé sur la carte et une quinzaine de pays plus tard, les chefs d’oeuvres sont terminés. Il est 16h, je vais me détendre devant un épisode de la saison 3 de Dexter (mon côté psychopathe), pendant que Virginie va faire le tri des mp3 qu’on embarque parmi les 16Go des années 80s qu’on a pris sur l’ordi de Philippe en aout.

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