Après 13 435 km de parcouru en 23 heures, nous voici à Honolulu.
Il est toujours amusant de noter qu’il n’aura fallu que 16h pour parcourir 13 370 km, mais près de 7h pour s’enregistrer, récupérer nos bagages, passer la douane, récupérer une bagnole de location, et parcourir les 10 derniers kilomètres en voiture. Si quelqu’un a envie de prendre le sujet du transport à bras le corps et de traiter une bonne fois pour tout le problème, qu’il n’hésite pas.
En tout cas, pas facile de faire plus loin de Paris au niveau destination quand on visualise Hawaii sur le globe. D’ailleurs, on affiche 12h de décalage horaire avec Paris. Impossible de faire pire.
Anticipant donc un Jetlag de la mort qui va nous mettre par terre, on a pris 3 nuits à Honolulu.
Parce que soyons honnête, Honolulu de loin cela fait peut-être rêver plein de gens, mais nous on ne s’attend pas à grand-chose. Grande ville très américanisée. Au mieux ce sera surprenant.
Mais si on était parti direct sur une autre ile, bon déjà Virginie m’aurait assassiné, mais en plus on aurait été tenté de blinder le programme de trucs à faire et là je sens que le décalage horaire va être tellement violent que si on n’a pas grand-chose de super excitant au programme, on se ménagera plus facilement.
D’ailleurs au niveau hôtellerie, on a pris le Sheraton devant la plage de Waikiki parce qu’il y avait une piscine avec un tobogan. Quitte à vivre Honolulu à l’américaine autant le faire en mode combo.
En revanche, malgré nos bonnes résolutions de se ménager, et si à 18h30 on était bien dans notre chambre au 29ème étage (jolie vue je dois admettre), à 19h, Noah essayait le tobogan de la piscine et à 19h45 on était sur la jetée pour voir le feu d’artifice qui est tiré chaque vendredi au-dessus du Hilton depuis 43 ans et que le covid avait interrompu pendant 2 ans. On a même réussi à dîner dans un steakhouse avant de remonter se coucher à 21h45.
21h50, Noah dort.
21h52, Virginie aussi.
Minuit, moi toujours pas.
1h pas mieux.
F…ck
En revanche à 2h05, alors qu’enfin je commence à piquer du nez, Noah se réveille frais comme un gardon. Nous voilà à jouer tous les deux sous la couette avec une lampe torche au Uno pour laisser Virginie faire sa nuit. Après une palanquée d’histoires et d’endormissements avortés plus tard, Virginie nous rejoint dans notre cauchemar éveillé vers 5h30.
Moment que choisi Noah pour vouloir petit déjeuner absolument tout de suite.
Après 13 435 km de parcouru en 23 heures, nous voici à Honolulu.
Il est toujours amusant de noter qu’il n’aura fallu que 16h pour parcourir 13 370 km, mais près de 7h pour s’enregistrer, récupérer nos bagages, passer la douane, récupérer une bagnole de location, et parcourir les 10 derniers kilomètres en voiture. Si quelqu’un a envie de prendre le sujet du transport à bras le corps et de traiter une bonne fois pour tout le problème, qu’il n’hésite pas.
En tout cas, pas facile de faire plus loin de Paris au niveau destination quand on visualise Hawaii sur le globe. D’ailleurs, on affiche 12h de décalage horaire avec Paris. Impossible de faire pire.
Anticipant donc un Jetlag de la mort qui va nous mettre par terre, on a pris 3 nuits à Honolulu.
Parce que soyons honnête, Honolulu de loin cela fait peut-être rêver plein de gens, mais nous on ne s’attend pas à grand-chose. Grande ville très américanisée. Au mieux ce sera surprenant.
Mais si on était parti direct sur une autre ile, bon déjà Virginie m’aurait assassiné, mais en plus on aurait été tenté de blinder le programme de trucs à faire et là je sens que le décalage horaire va être tellement violent que si on n’a pas grand-chose de super excitant au programme, on se ménagera plus facilement.
D’ailleurs au niveau hôtellerie, on a pris le Sheraton devant la plage de Waikiki parce qu’il y avait une piscine avec un tobogan. Quitte à vivre Honolulu à l’américaine autant le faire en mode combo.
En revanche, malgré nos bonnes résolutions de se ménager, et si à 18h30 on était bien dans notre chambre au 29ème étage (jolie vue je dois admettre), à 19h, Noah essayait le tobogan de la piscine et à 19h45 on était sur la jetée pour voir le feu d’artifice qui est tiré chaque vendredi au-dessus du Hilton depuis 43 ans et que le covid avait interrompu pendant 2 ans. On a même réussi à dîner dans un steakhouse avant de remonter se coucher à 21h45.
21h50, Noah dort.
21h52, Virginie aussi.
Minuit, moi toujours pas.
1h pas mieux.
F…ck
En revanche à 2h05, alors qu’enfin je commence à piquer du nez, Noah se réveille frais comme un gardon. Nous voilà à jouer tous les deux sous la couette avec une lampe torche au Uno pour laisser Virginie faire sa nuit. Après une palanquée d’histoires et d’endormissements avortés plus tard, Virginie nous rejoint dans notre cauchemar éveillé vers 5h30.
Moment que choisi Noah pour vouloir petit déjeuner absolument tout de suite.
A 6h30, on peut enfin descendre petit-déjeuner. On est réveillé depuis 4h !
J’en profite pour partager le planning des spots qu’on a prévu de faire à Oahu si tout se déroule comme prévu…
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