La nuit fut un peu chaotique avec le décalage horaire (3h seulement cela dit, une blague à côté de l’aller pour aller à Hawaï, mais avec un coucher à minuit et quelques, ça a suffit à nous déglinguer). On n’est donc opérationnels que vers 9h30 ce qui nous met dans un entre deux car on a réservé au Paradise Cove à Malibu pour 12h30, qui se situe tout de même à 50 bonnes minutes de route. Pas vraiment le temps de petit déjeuner donc, mais un peu loin aussi pour contenir Noah qui a le ventre qui gargouille un peu du bnon dîner de la veille.
On décide quand même de faire l’impasse sur le petit dej, et de partir direct, parce que de toute façon, dès que Noah se retrouve à table, il tient max 30 secondes en place avant de vouloir faire autres chose et fini au mieux par picorer comme un oiseau.
Alors qu’on part pour Paradise Cove, je profite de la route pour tenter de nous organiser la journée, car finalement la moins calée des 4 prochains jours, c’est celle-ci.
Au final ce sera donc exploration des plages de Malibu avec déjeuner à Paradise Cove, puis stop à Zuma beach pour voir si Virginie peut se prendre pour Pamela en courant sur la plage tandis que Noah défiera les rouleaux non pas en surf, mais avec une digue de sable, et enfin on ira à El Matador beach qui est apparemment la plage la plus sauvage.
Sur le retour, on s’arrête au Santa Monica Pier avec la promesse d’un moment à la fête foraine. Celle-ci en tant que tel n’a rien à envier à la fête à neuneu, mais l’emplacement sur le Pier est sympa. Quelques spectacles de rue, un évènement privé en roller avec des filles vulgaires comme on aime en patin, et des jeux d’adresse ou de hasard qui coûtent un bras pour 30 secondes d’amusement.
Noah gagnera une petite peluche, Licornette, qui viendra grossir les rangs des doudous incontournables du moment pour s’endormir, j’ai nommé Justin (qui est un grand poulpe) ; Poulpy qui comme son nom l’indique est un … paresseux (les enfants sont incroyables), Balaineau (qui est une baleine quand même) et Ange (qui est un poulpe). Tu m’étonnes que quand il nous réveille la nuit et qu’on a la tête bien enfarinée on soit bien en peine de savoir ce qu’on cherche dans le noir quand il nous dit que Poulpy a disparu dans le lit.
De retour finalement assez tard (un bon 19h) à l’hôtel, on trouve dans le coin un peu au hasard un restau très sympa, le …. Dans une rue déserte (en même temps à L.A. toutes les rues ont l’air déserte vu que personne ne marche là-bas), derrière une bâche de travaux, un restau péruvien super animé où Noah tombe sous le charme de la minette de l’accueil et se met à lui faire les yeux doux. En même temps, ça me rassure, car il a bon goût le loustic, elle est en effet charmante. Refermons la parenthèse…
Quelques ceviche plus tard et la tête un peu farcie par le cocktail alcool / bruit / décalage horaire, on retourne au lit à l’hôtel car demain une grande journée nous attend. Noah s’endort avec l’image de la fin de la mythique route 66 au Santa Monica Pier
Vous devez vous connecter pour laisser un commentaire.